Camp Louveteaux-Jeannettes 2009
Publié le 26 août 2009 avec les mots-clés: Actualités
Morbecque - 4 au 11 juillet
Un très bon camp ! Je crois que ça résume bien.
Un premier pour certains, un dernier pour d’autres, mais toujours autant de bons moments partagés ! Dès notre arrivée, il eût fallu prestement que nous montâmes les tentes, afin de trouver bon logis. Puis, pleins d’entrain, nous nous mimes à préparer la pitance, eh ! c’est qu’il s’agit de prendre des forces pour les aventures à venir !
Ces aventures, justement, ne tardèrent pas. Passés quelques consignes de sécurité, et quelques petits jeux, nous arrivâmes bien vite à la veillée. En réalité, la peuplade a été conviée aux noces de la princesse Béatrice et du prince Godfroy de Mortebecque, fils du roi Priam, roi de Westphalie et descendant direct de ... bref ! Il fallait donc nous activer pour que tout soit prêt, le prince arrivant très bientôt. Le soir du Dimanche fût l’occasion d’un peu de repos, en effet la reine nous fit lecture du conte préféré de sa fille Béatrice, et attention ! les acteurs déambulaient derrière pour bien visualiser.
Dès le lendemain, oh stupeur !! "La princesse !!! la princesse Béatrice a été enlevée !! Louveteaux, Jeannettes, il vous faut la retrouver, le prince en aurait le cœur brisé !" Dès lors, les chevaliers se mirent en quête d’un moyen de retrouver la princesse, et quoi de mieux pour se préparer à l’affrontement, qu’un bon tournoi ?! De plus, le roi serait diverti... On met donc en place une série de petites épreuves : lancer de boules de pétanques, relais, parcours du combattant ect ect...
Les recherches continuèrent et les entraînements se firent de plus en plus durs, il fallait désormais savoir qu’un chat miaulait dans le grenier, et que Frère Tuck entendait le chat miauler ! Le mardi après-midi, le roi fît une dépéche urgente : une lettre du ravisseur !! Ce dernier avait en effet le culot de demander une rançon de 3000 scoutacus !!! Une sommeénorme ! Heureusement, Lancelot eût une idée... Le roi avait jadis caché un trésor dans la forêt, hélas... il avait oublié où il l’avait laissé exactement ! Il ne se souvenait seulement que du premier indice qui mène au précieux. Lancelot et le fidèle bouffon du roi prirent une équipe, tandis que le roi et frère Tuck en formèrent une autre. toutes deux se séparèrent et partirent à la recherche du trésor royal.
Quelques heures plus tard, les deux équipes, à égalité, arrivèrent toutes deux au même instant à la cachette. Mais la déception fût grande, le trésor ne contenait que 1500 scoutacus, soit la moitié de la rançon. Impossible de délivrer Béatrice de la terrible prison des centres enfermés ! C’est alors que le roi eût une royale idée ! Il invita tous les louveteaux et toutes les jeannettes dans son casino. Tandis que la peuplade s’amusait et festoyait au bar à friandises, le roi s'enrichissait. Vint l’heure des comptes : 1, 2, 3... 1500 scoutacus !!!!!!!! Miracle ! La princesse pourra donc être libérée. L’entrain poussa alors la peuplade à organiser un concours cuisine pour déterminer quelle équipe sera digne de préparer le festin des noces. Le jury, composé du roi, de la reine, de Lancelot, de Frère Tuck, du Prince et du bouffon dégustèrent une série de plats plus goûtus les uns que les autres ! Il fallait bien trancher, et sur le podium se placèrent dans l’ordre Les Chevaliers Barbares (Babars), les Princess Girls et les Belles Princesses. Mais l’euphorie ne dura pas longtemps...
Le jeudi soir, la princesse n’était toujours pas arrivée. Le roi, fou de colère, voulût trouver le coupable. Les divers suspects furent tous interrogés : On interrogea le roi, le prince, la reine, la bonne le domestique, le chauffeur du carrosse, Priam, le frère de la princesse ect... Finalement, on trouva le coupable : le chauffeur du carrosse était responsable de l’enlèvement !! Sa tête fût tranchée sur le champ.
Dès le lendemain, les louveteaux et les Jeannettes partirent chercher leurs montures à l’écurie. Une longue et pèrieuse marche à travers le désert suivie d’un dur entrainement au combat n’eurent pas raison d’eux. Dès leur retour, la princesse était rentrée. On festoya longuement ce soir là, tous autour du feu, pour cuire quelques faisans, et faire rôtir un cerf bien poivré. La cervoise servie par Loann coula à grands flots dans nos gosiers et ainsi s’acheva notre camp.
Dès le lendemain, il fallait tout démonter pour partir vers d’autres aventures !
Paul, Hérisson Subtil (le roi dans l’histoire)